Contribution communautaire

Donner de moi-même pour le bien de l’autre organisation à but non lucratif 

Faire du bénévolat et faire un don n’est pas une mince affaire, et il est vrai que tout le monde ne peut pas se permettre de faire un tel geste.
Mais j’aime à penser que chacun d’entre nous peut contribuer, et même un peu.

Comment en suis-je arrivé là ?
L’histoire est très simple, la maison où j’ai grandi, a toujours été une maison ouverte et chaleureuse pour tous.
Mes parents ont toujours adopté de nouveaux immigrants, des soldats solitaires, des étrangers venus de l’étranger qui se sont portés volontaires dans le kibboutz, des jeunes d’une « entreprise de jeunes » et, bien sûr, des animaux.
J’ai été élevé en sachant que l’autre devait être accepté, pas ignoré. Soyez tolérant à la langue. Pour de nouvelles opinions, des pensées qui ne sont pas dans la norme, à différents types de personnes, de cultures et d’approches de la vie.
La vie dans le kibboutz m’a appris qu’il y a toujours de la place pour donner une épaule, tendre la main, aider et faire du bénévolat.
Et chaque grande petite aide est accueillie avec une lumière des yeux et un large sourire.
La philanthropie n’est pas un mot péjoratif, ni pour les riches.

Mon « je crois » est très simple, vous n’avez pas besoin d’une journée spéciale comme la Journée des bonnes actions pour faire quelque chose de heureux. Il ne faut pas beaucoup d’argent pour faire une différence.
Ma recette contient les ingrédients suivants:
Esprit de bénévolat
Initiative Kurt et pensée créative
Et assaisonner un peu de temps libre mélangé à de la bonne volonté

Aujourd’hui, je fais activement des dons à diverses organisations caritatives de sauvetage d’animaux et leur fils Gilboa aime les animaux et le pégase, ce qui sauve des ânes et des chevaux, à la fois des contributions financières mensuelles et dans les activités de collecte d’objets.
Et je fais aussi diverses activités bénévoles qui aident les soldats isolés, les nouveaux immigrants, les services hospitaliers et les maisons de soins infirmiers de réadaptation.
Je lance également certaines opérations de collecte, telles que la collecte d’équipement pour les soldats solitaires, la collecte de livres pour les départements hors service et l’organisation Histoires récurrentes.
Dans ma colonie, Pardes Hanna-Karkur, j’ai lancé une opération de collecte de matériel scolaire pour les enfants de familles à faible revenu, ainsi qu’une opération de collecte de poupées molles pour le centre de santé mentale Sha’ar Menashe.

Donner, c’est fondamentalement accepter

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